La jeunesse malgache, l’avenir du pays, est confrontée à une triste réalité : elle est éduquée à la corruption et à l’appât du gain. Au cœur de cette déplorable situation se trouve la Ministre de l’Éducation Nationale, Sahondrarimalala Marie Michelle, qui non seulement néglige les besoins éducatifs du pays, mais encourage également une culture de corruption flagrante.
La pratique de distribuer de l’argent pour gonfler les rangs de la propagande d’Andry Rajoelina est une tache honteuse sur le ministère de l’Éducation Nationale. Au lieu de promouvoir les valeurs de l’éducation et de l’éthique, la ministre semble démocratiser cette pratique dégradante qui consiste à acheter la loyauté des individus. Cette méthode ne fait que conditionner les jeunes à l’appât du gain, détournant leur attention des valeurs académiques essentielles.
Pendant ce temps, l’éducation nationale à Madagascar est en péril. Les enseignants ne sont pas payés, les bourses des étudiants sont négligées, et les examens officiels du baccalauréat se déroulent dans des conditions désastreuses. Les élèves ont dû se contenter de la lueur vacillante de bougies, achetées par leurs parents pour pallier le manque d’électricité. Cette situation est le reflet d’une négligence alarmante de l’éducation, ce qui devrait être l’une des priorités fondamentales d’un gouvernement.
La Ministre de l’Éducation Nationale de Madagascar semble totalement déconnectée de ses responsabilités éthiques et de son devoir envers le système éducatif du pays. Au lieu de se consacrer à l’amélioration de l’enseignement, elle préfère se plier aux pratiques corrompues de la politique, soutenant un candidat, Andry Rajoelina, dont les discours révèlent un manque flagrant de compétence et de culture générale. Confondre la race de chien coton de Tuléar avec le coton à cultiver est un signe alarmant de l’incompétence qui règne dans les plus hautes sphères de l’État.
Il est temps que le peuple malgache exige des comptes à cette ministre et mette en lumière la réalité du déclin de l’éducation nationale. L’avenir de Madagascar dépend de la qualité de son système éducatif, et il est grand temps que les responsables politiques se remettent sérieusement au travail pour préparer les jeunes générations à un avenir prospère, basé sur l’éducation et l’intégrité, plutôt que sur la corruption et l’incompétence.