Dans une série de révélations choquantes, des informations troublantes ont émergé concernant la perturbation des marches pacifiques organisées par le collectif des candidats, impliquant l’utilisation de gros bras agressifs, rémunérés par Naivo Raholdina et Jean Nirina Sektambra. Ces allégations jettent une lumière inquiétante sur les méthodes employées par certains acteurs politiques pour saboter la démocratie et semer la violence dans le pays.
Un groupe de gros bras a été identifié comme étant des mercenaires fréquemment aperçus chez Naivo Raholdina, où ils se rendraient pour recevoir leur rémunération et les directives pour perturber les manifestations du collectif des candidats. L’un de ces individus a été arrêté par les forces de l’ordre aujourd’hui, révélant ainsi son appartenance à la garde rapprochée de Naivo Raholdina, le suivant partout où il va.
Ces gros bras se rassemblent chaque soir dans un bar situé aux 67Ha, où ils se vantent de leurs exploits ayant contribué à saboter les manifestations pacifiques des candidats. Au cours d’une de ces soirées, l’un d’entre eux, sous l’influence de l’alcool, aurait laissé entendre que Naivo Raholdina et Jean Nirina Sektambra les rémunéraient pour leurs actions perturbatrices.
Des informations précédentes suggèrent que Naivo Raholdina avait déjà manifesté son intention de semer la pagaille lors d’une manifestation à Ampasapito, où il a dirigé une bande de mercenaires pour agresser les passants. Ces révélations suscitent de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des citoyens et à l’intégrité des élections à venir.
Ces allégations de l’implication de Naivo Raholdina dans des actes de violence et de perturbation des manifestations pacifiques sont inacceptables et doivent être prises au sérieux par les autorités compétentes. Le respect des principes démocratiques et de la paix civile est essentiel pour garantir des élections libres et équitables.
Il est impératif que les autorités enquêtent sur ces allégations, que les responsables soient traduits en justice et que des mesures soient prises pour assurer la sécurité des citoyens et la stabilité du processus électoral. Le pays ne peut pas se permettre d’être témoin de la montée de la violence politique et de l’instabilité. Il est temps de mettre un terme à de tels actes barbares et de restaurer la confiance envers le processus démocratique.
