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Le Journal de l'île Rouge
Economie

Echo du Sommet de l’IDA de la Banque mondiale le 29 avril 2024 au Kenya

La gazette de la grande île
03/05/20242 minute read

Le gouvernement du Kenya et le Groupe de la Banque mondiale ont co-organisé le 29 avril 2024 dernier un “Sommet” pour l’appel aux pays développés pour réapprovisionner en nouvelles ressources financières de l’Association internationale de développement (IDA) de la Banque mondiale. Dix neuf Chefs d’État africains dont le Président Andry RAJOELINA se sont réunis lors de sommet majeur pour le réapprovisionnement de l’IDA mais surtout pour obtenir un engagement ferme des dirigeants africains à entreprendre des réformes économiques ambitieuses et l’IDA sera au cœur de la mise en œuvre de ce programme.

Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale , la communauté internationale à travers l’Association internationale de développement joue un rôle essentiel pour ceux qui en ont le plus besoin . En effet L’ Association internationale de développement est un partenaire dans le parcours de développement de l’Afrique plus particulièrement et ce sommet a symbolisé l’ engagement collectif à accélérer les progrès.

l’Association internationale de développement (IDA) de la Banque mondiale se positionne ainsi comme la pierre angulaire du succès du futur programme de développement de l ‘Afrique, visant à améliorer considérablement la vie des africains et à créer de nouvelles opportunités.

Le communiqué final du sommet a détaillé l’engagement ferme des dirigeants africains à renforcer la gouvernance, à libérer le potentiel du secteur privé pour la création d’emplois, à mobiliser les ressources nationales et à tenir les promesses en matière de changement climatique. En outre, ils ont donné la priorité à un accès accru à l’énergie et au numérique, ainsi qu’à une résilience accrue au changement climatique et aux conflits.

Espérons que ce sommet nous ouvrira une meilleure voie à un réel développement économique et à la transformation de la communauté Malagasy , façonnant ainsi un avenir meilleur pour tous. Mais pour transformer ces engagements en résultats palpables au niveau de l’amelioration du bien être de la majorité des pauvres Malagasy, Cela nécessitera davantage de la part du gouvernement , davantage de la part du secteur privé , et davantage de la part de tous les partenaires financiers de développement.

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