FMI, réfléchissez.
Le projet d’autoroute de Rajoelina est une menace directe pour les derniers sanctuaires écologiques de Madagascar. Traversant les corridors forestiers d’Anjozorobe Angavo et de Zahamena, ce projet met en péril des écosystèmes abritant plus de 80 % des espèces endémiques de l’île, des trésors de biodiversité qu’on ne trouve nulle part ailleurs sur Terre.
Lors de la COP29, 59 organisations internationales ont alerté sur l’impact dévastateur de cette autoroute pour l’environnement et le climat. Dès juillet, une cinquantaine d’ONG, d’associations et de scientifiques ont dénoncé les conséquences irréversibles de ce projet. Ces voix ne sont pas des opposants politiques, mais celles d’experts en écologie et en climat, porteurs d’un message pour l’humanité.
FMI, le monde vous regarde. En finançant cette autoroute, vous deviendrez complices de la destruction d’un patrimoine écologique unique et d’une biodiversité cruciale pour l’équilibre planétaire. Il est encore temps de faire preuve d’éthique et de responsabilité. Refusez de soutenir ce projet destructeur.
Monsieur Max Fontaine, suivez vos convictions.
Vous, ancien défenseur de l’environnement, savez ce que cette autoroute représente : la ruine des forêts primaires, la mise à mal des efforts pour préserver la biodiversité de Madagascar, et un pas de géant vers le désastre climatique. Ne laissez pas le pouvoir ou la pression politique réduire à néant les valeurs que vous avez toujours portées. Le monde attend de vous un acte fort : protéger Madagascar.
Ce n’est pas un simple projet local.
C’est une attaque contre la planète. Ce projet va détruire les trésors naturels de Madagascar, aggraver le dérèglement climatique mondial, et effacer l’identité écologique de l’île.
FMI, Max Fontaine, agissez. Refusez de devenir les artisans de cette destruction historique. Il est encore temps de préserver ce patrimoine unique pour les générations présentes et futures. Ne financez pas, ne soutenez pas l’irréparable.
Une lutte pour l’identité et l’avenir de Madagascar
Ce combat va au-delà de l’opposition à une infrastructure. Il s’agit de préserver ce qui fait l’essence de Madagascar : une biodiversité exceptionnelle, une identité écologique forte, et une contribution inestimable à l’équilibre environnemental mondial.
L’autoroute promise par le régime ne doit pas devenir le symbole de la destruction d’un patrimoine naturel unique au monde. Le développement durable doit être un cheminement équilibré, respectueux des écosystèmes et des générations futures.
Le choix est clair : investir dans des infrastructures écologiquement responsables ou laisser l’histoire retenir Madagascar comme un lieu où la quête de modernité a sacrifié une richesse irremplaçable.