Depuis plus de 2 ans, Lola Rasoamaharo, journaliste et PDG de La Gazette de la Grande Île, croupit en prison à Madagascar pour des accusations infondées. Accusé à tort de tentative d’extorsion de fonds — accusations réfutées par des preuves solides — il a déjà purgé plus de la moitié de sa peine, sans avoir commis le moindre crime.
Un journaliste emprisonné pour avoir défendu la liberté
À la tête du dernier journal indépendant du pays, Lola Rasoamaharo représente la voix libre d’une presse que les autorités malgaches cherchent à faire taire.
Une mobilisation internationale forte
Le pape Léon XIV, Emmanuel Macron, Reporters sans frontières, Amnesty International, et plusieurs autres acteurs locaux et internationaux réclament sa libération immédiate. D’après nos sources ici aux Etas-Unis, les autorités américaines prévoient d’envoyer une lettre officielle aux dirigeants malgaches pour exiger sa remise en liberté.
Un refus obstiné
Malgré cette pression internationale grandissante, les dirigeants malgaches restent sourds à toutes ces demandes.
Même si c’était le Bon Dieu lui-même qui parlerait…
Même si c’était le Bon Dieu lui-même qui demandait sa libération, ils n’en tiendraient pas compte. Ce silence obstiné est un symbole fort du mépris envers la justice, la démocratie et la liberté de la presse à Madagascar.
Lola Rasoamaharo reste incarcéré, victime d’une répression politique, tandis que la communauté internationale continue de se battre pour sa libération.