DESTINEE DE BRIGITTE RAZAKA ET DE SES COMMANDITAIRES

Etant un ami avoué de LOLA RASOAMAHARO, PCA de La Gazette de la Grande Île, il se trouve que beaucoup de citoyens me demandent de ses nouvelles par curiosité ou par intérêt politique. Et j’ai toujours répondu que cette affaire est loin d’être révolue, et elle a même une continuité des plus sordides.
Après avoir fait taire le journal La Gazette de la Grande Ile, en emprisonnant son Président du Conseil d’Administration, en détruisant et en pillant tous les matériels inhérents à la continuité de son bon fonctionnement, les journalistes sont maintenant confrontés à des MENACES PHYSIQUES si la rédaction perdure dans sa ligne directrice qui est d’être le fer de lance de l’opposition écrite.
Devenu des combattants de l’ombre, et faisant comme les roseaux, nos chers journalistes ont juste ployé mais n’ont pas rompu. Et le combat continue en brandissant l’étendard de leur arme qui est la vérité imprimée, et rien que cette vérité. Les écrits vont par leur verve, parsemer les réseaux sociaux nationaux et internationaux pour rétablir les faits avérés de manipulation, d’abus de pouvoir et d’entrave au droit de l’homme.
Tous les protagonistes de cette mascarade politico-judiciaire, ne seront pas épargnés quand le jour sera venu. C’est-à-dire, que ceux qui ont trempé de près ou de loin dans cette corruption active, seront cités dans les annales historiques des traitres à la nation, à l’instar de la dame BRIGITTE RAZAKA par qui tout ce scandale est arrivé, et qui va dépasser les rives de Madagascar.
Tout comme les commanditaires de cette histoire abracadabrante en les personnes d’Andry Rajoelina et de son âme damnée le milliardaire Mamy Ravatomanga, ces derniers qui sont les hommes forts du pays actuellement, peuvent échapper au pseudo processus de la justice malgache, mais pas à l’histoire écrite des traitres à la nation, qui ont maintenu le peuple dans les affres de la pauvreté.