Les hors-la-loi s’abritent à Madagascar sous couvert de divers titres ou autres privilèges octroyés par les dirigeants de l’île. Par exemple, le consul honoraire d’Italie, Michele Franci, est domicilié dans une habitation construite illicitement sur un terrain que sa femme a volé. S’il veut le contester, on l’invite à fournir les papiers justifiant, soit l’acte de vente de ce terrain, soit un autre papier prouvant qu’ils ne sont pas des squatters comme les SDF de la Réunion Kely.
Les criminels internationaux sont nombreux à s’abriter à Madagascar pour éviter toute poursuite. Pour ce faire, ils se rapprochent des dirigeants. Ils participent à faire tourner l’économie de l’île, mais à leur avantage. L’un d’entre eux dont le nom est cité dans plusieurs affaires de crimes internationaux comme le Panama Papers, monopolise presque tous les secteurs économiques de Madagascar. Il figure parmi les personnalités les plus riches et influentes d’Afrique et arrive à utiliser les dirigeants malgaches pour couvrir ses méfaits. Tous ceux qui essayent de dénoncer ses combines se retrouvent, soit en prison, soit bloqués dans leurs propres business. Cet homme est actuellement interdit de séjour en Chine à cause de ses entrées d’argent frauduleux découvert à l’étranger et serait également interdit de séjour en Europe d’après nos sources.
Ces criminels internationaux font de Madagascar leur paradis. Ici, ils sont intouchables et peuvent même utiliser les dirigeants du pays à leur avantage. Ils contrôlent l’économie et la justice. Ils servent ainsi de boucliers financiers aux dirigeants.