Dans un acte choquant de tromperie et de harcèlement, la page Facebook « La Gazette de Madagascar » s’est récemment distinguée en usurpant l’identité bien établie de « La Gazette de la Grande Île ». Ce faux média a délibérément adopté le nom d’un journal respecté pour propager des contenus diffamatoires et persécuter Lalatiana Rakotondrazafy.
L’équipe du Journal de l’île Rouge tient à souligner avec fermeté qu’elle n’a aucune affiliation avec la page trompeuse en question. Les responsables du journal légitime dénoncent cette usurpation d’identité, qualifiant les actions de la page usurpatrice de La Gazette de Madagascar comme étant tout sauf du journalisme responsable.
L’une des victimes principales de ces attaques vicieuses est Lalatiana Rakotondrazafy, qui semble être la cible principale de cette campagne de diffamation. Les actionnaires responsables de La Gazette de la Grande Île ont tenu à préciser que leur journal n’a aucun lien avec ces attaques ciblées, désapprouvant catégoriquement les méthodes employées par La Gazette de Madagascar.
« Cet usurpateur persécute et s’acharne sur Lalatiana Rakotondrazafy. Ce n’est pas du journalisme, et nous déclinons toute responsabilité quant aux conséquences des publications de cette page », ont déclaré les représentants légitimes de La Gazette de la Grande Île basé à New York.
Il est crucial de rappeler que le Journal de l’Île Rouge est un organe de presse libre, légalement établi à New York, aux États-Unis. En revanche, La Gazette de Madagascar apparaît comme le produit d’une personne frustrée opérant dans l’ombre.
Cette affaire souligne la nécessité d’une vigilance accrue en ligne, car les usurpateurs peuvent exploiter la réputation d’institutions respectées pour diffuser des informations diffamatoires et nuire à la réputation de personnalités publiques.
Le Journal de l’île Rouge appelle à une enquête approfondie sur cette affaire afin de traduire les responsables de La Gazette de Madagascar en justice pour leurs actions illégales et diffamatoires. Il est impératif de protéger l’intégrité du journalisme et de garantir que de tels incidents ne se reproduisent pas à l’avenir.
