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Le Journal de l'île Rouge
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La fiction de Brigitte Razaka : Dépasse la réalité de Lola

La gazette de la grande île
06/05/20233 minute read

La fiction  est un fait imaginé ou encore une construction imaginaire. D’où la locution proverbiale « la réalité dépasse la fiction ». Depuis le jour où le nom  de Lola Rasoamaharo,  Président Directeur  Général  du quotidien La  Gazette  de la  Grande  Ile, a  fait le  Buzz, la première réaction largement partagée était l’incrédulité. Surtout à  cause de ces émissions de  « fakes news » sur une histoire « d’émission  de  chèque sans provision » dont l’origine pouvait être facilement devinée… Forgerie  tout  de  suite démentie par  dame Brigitte  Razaka, le lendemain  de l’arrestation  de Lola que celle-ci accuse de « tentative d’extorsion  de fonds  et  diffamation par voie de graffitis… » Le  quiproquo était  voulu ou  non. En  tout  cas, la mauvaise intention  de la part de la plaignante était  manifeste  et flagrante. Rien  dans tout ce  que cette  femme avait révélé à la presse ne pouvait  constituer  ne  serait-ce  que  les débuts  des  éléments  constitutifs des faits  reprochés au patron  de la presse.

Concrètement, une plainte a été déposée contre Roland  Hubert Rasoamaharo. Mais pour l’instant, les  faits  reprochés ne  contiennent aucune preuve tangible et accablante. La  conférence de presse effectuée  dans la  hâte n’avait pour  objectif réel  que  d’alimenter  ce que les  spécialistes du  Droit  considère  comme étant des hypothèses conventionnelles qui permettent de déduire des conséquences. A savoir : donner l’impression  au public  de se trouver  devant   des  actes punissables. Il ne  s’agit  que  des faits purement fictifs (des  créations  de l’imagination  dans le  but  de  nuire à la personne  visée).

Pour  sa part,  Lola  Rasoamaharo,  selon  des personnes sûres qui le connaissent très bien, n’a  qu’un  tort, c’est  d’avoir fait  confiance à  Brigitte  Razaka qui  a  voulu  s’approprier une propriété  foncière  de  ce  dernier  dans une  vente  de  « gré à  gré ». Croyant avoir affaire à une personne respectable, il a  conclu la  vente  de  son terrain en toute confiance sans  se méfier. C’est  seulement  quand il  a réclamé  avec insistance ce que la dame devait  encore lui payer  qu’il s’est  retrouvé devant une  personne sans scrupule. Au lieu  de  s’acquitter  de la  forte  somme  qu’elle lui  doit, Brigitte Razaka use  d’ artifice et accuse Lola  Rasoamaharo  d’« extorsion de fonds » au  cas où  la plainte pour diffamation (un  délit de presse) n’atteindrait pas  juridiquement sur le plan  de la procédure… Tout  a  été  calculé pour  faire tomber le patron  de presse dans le but  que  ce  dernier  dise adieu  à la  somme que  Brigitte Razaka (preuves à l’appui) doit  en toute légalité  verser à un patron  de presse  qu’elle  traîne dans la  boue avec une  accusation  de pure  fiction sans  aucun  fondement.  La  réalité pour Lola  Rasoamaharo consiste en des preuves  palpables en  sa possession  qui permettront  publiquement aux juges de  statuer de manière  équitable pour  que  justice soit faite ! Tout le reste  n’est  que  divagation  d’une aventurière désireuse de   s’approprier  un  bien  d’autrui par la  ruse.

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