Foutaise et baliverne, elle a cherché le scandale et elle l’aura. Nous l’avons dit, nous nous battrons et nous ne nous tairons pas. Nous sommes » La vérité imprimée » et l’emprisonnement sans preuves tangibles de notre PDG n’est qu’un abus de pouvoir et pure divagation. Comme le régime Andry Rajoelina n’a pas trouver un moyen de pression et acheter le patron de presse, la seule manœuvre qu’ils ont trouvé, c’est d’utiliser un pion. Un clown, une marionnette répondant au nom de Brigitte Razaka. En plus de cela, pour nous empêcher d’imprimer et de mettre La Gazette de la Grande Ile « hors d’état de nuire », ils ont usé d’excuse absurde.
- La plainte de Dame Brigitte Razaka
Ceux qui côtoient Lola Rasoamaharo, connaissent comment il est dans le monde des affaires. De par sa simplicité et son amitié, il a accepté de vendre son terrain de 1 100 m2 à la dernière. Le prix convenu par m2 était de 1 200 000 Ar, nous vous laissons l’honneur de faire le calcul cher lecteurs/lectrices. Maintenant, que vous avez la valeur totale de la facture, dites-nous qui a fait l’objet d’extorsion de fonds ? Si elle a les preuves de paiements des milliards qu’elle doit à Lola Rasoamaharo pour l’acquisition de son terrain, qu’elle les sorte. C’est un bien mal acquis alors, car elle n’a pas encore payé. Et maintenant que notre PDG lui demande de payer ce qu’elle doit, il est le fautif et pire, il est détenu en prison tel un vulgaire voleur.
On se demande quand même, si l’actuel mari de la dame approuve tout ce qui se passe en ce moment. En effet, elle est l’épouse du Consul d’Italie à Madagascar, pour ce qui est de la mort de son ancien époux ?? Nous lançons des réflexions, car n’ayant pas encore effectué son paiement, tout ce qu’elle a bâti sur le terrain appartenant à Lola Rasoamaharo n’est qu’une construction illicite.
- Saisie conservatoire de la Jirama
Nous nous en souviendrons jusqu’à la fin des temps, de cette fameuse saisie conservatoire d’un huissier avec deux gendarmes armées dans nos locaux a Antanimena. C’était le 30 mars 2023 au 3e étage de Pradon Trade Center dans notre desk à 18 h 23. Aucun de nos journalistes, ni responsable n’ont pu lire la soi-disant lettre ordonnant la saisie conservatoire de nos matériels. Des dockers sortis de nulle part après un signal de « l’huissier » et hop, ils ont tout pris : meubles, ordinateurs, écrans, certains de nos documents qu’on ignore… Le plus désolant, tout cela, c’est passer sans aucun respect, ni de nos journalistes/employés, ni de nos matériels. Tout a été entassé comme des déchets sans considération aucune… Il pleuvait et imaginer, des ordinateurs a l’arrière d’un pickup sans bâche ni couverture imperméable… Rappelons, que cette affaire de facture impayé qui date de 2016 a été déterré d’entre les morts, à l’époque ou Lola Rasoamaharo n’était qu’un simple actionnaire.
La suite ? Depuis le 31 mars 2023 votre quotidien La Gazette de la Grande Ile n’est plus paru dans le territoire Malagasy et à notre grande surprise, nos lecteurs à l’étranger qui nous suivaient depuis notre site web aussi, car ce dernier a été fermer sans notre accord.
Au-delà de « museler » la presse et d’entraver la liberté d’expression, ils ont emprisonné notre PDG. Si vous croyez encore que c’est une affaire banale, alors ouvrez les yeux, car tout ce qui se passe dépasse l’entendement. Cerise sur le gâteau, certains de nos journalistes sont victimes d’intimidation au quotidien et son suivi par des voitures, scooters et autres depuis leurs domiciles.
Pathétiques, et typiques d’un peureux, les manœuvres des personnes derrière cette mascarade relèvent de dessous politique en haut lieux. Oui, nous l’admettons, nos critiques dérangent et ils ont peur, car nous sommes dans une période électorale. Tous les coups sont permis, comme on dit et nous n’allons pas rester les bras croisés également.
LGDI reste la vérité imprimée même si nous ne le sommes plus physiquement et provisoirement. Pour nous l’échec n’est pas une option ou « Failure is not an option ».