Tentative de museler le « Journal de l’île Rouge » : Dernier recourt des lâches qui nous persécutent

Après avoir fait tout leur possible pour fermer La Gazette de la Grande île en utilisant la justice, les persécuteurs sont actuellement en train de se mobiliser pour museler la Journal de l’île Rouge (JIR Madagascar). Quand nous avons publié avant-hier que le Gendarme responsable de l’arrestation musclé de Lola Rasoamaharo était le subalterne de Mamy Ravatomanga, toute l’équipe du Groupe Sodiat a été mobilisé pour tenter de supprimer notre page Facebook et trouver les responsables de cette page.
Nos persécuteurs sont des lâches. Des gens haut placés, mais qui se cachent derrière des boucs émissaires comme Brigitte Razaka ou la Jirama. Ils pensent qu’en emprisonnant Lola Rasoamaharo et en fermant La Gazette de la Grande île, ils pourront faire taire la vérité. Ils pensent qu’en muselant la Presse, ils détiendront le pouvoir de manipuler le peuple. Ils pensent tirer les ficelles tasser dans l’ombre sans que personnes ne voient leurs identités. Pourtant, cette forte mobilisation de toute l’équipe du Groupe Sodiat après un seul article prouve que l’un de nos persécuteurs est l’homme à la tête de ce groupe.
Rappelons que depuis la prise de pouvoir du régime de Andry Rajoelina en 2019, La Gazette de la Grande île était le seul journal qui a omis de parler des scandales nationaux et internationaux impliquant Mamy Ravatomanga. Citons entre autres l’affaire Panama Papers. Malgré les dossiers en notre possessions et les informations véhiculés par la Presse internationale, nous avons respecté le monsieur par présomption d’innocence. Même si les dossiers présentent des preuves flagrantes, nous avons préférés nous taire et laisser la justice s’en occuper. Pourtant, l’homme en question a envoyé son subalterne faire le sale boulot en arrêtant Lola Rasoamaharo une nuit de week-end et en mobilisant toute la justice Malgache un week-end pour des accusations sans preuves. Réussir un tel exploit et avoir un tel pouvoir sur la justice Malgache n’est pas donné à n’importe qui.
Les dérapages de l’homme puissant derrière la persécution de La Gazette de la Grande île s’entassent. Il est en train de salir de plus en plus l’image de ce régime. Jusqu’ici, Andry Rajoelina laisse faire…c’est à se demander s’il est lui aussi sous son emprise ? Pour toute contestation, droit de réponse ou démentit, veuillez contacter le bureau du Journal de l’île Rouge à New York aux Etats-Unis.