Consommation
La faim et la soif s’enchaînent
La majorité de la population malgache vit dans la misère à l’heure actuelle. Il faut dire que la pauvreté ne cesse de s’accroître dans le pays. Seuls les politiciens vendus comme Paul Rabary voient que la vie des Malgaches s’améliore. Les politiciens de son genre font fi de ne rien voir par rapport à la réalité qui prévaut dans la Grande Ile tant qu’ils y trouvent leurs avantages. En vérité, les citoyens malgaches pataugent dans la pauvreté et leur situation ne fait qu’empirer surtout sous le régime de Cédric Vazaha. La faim tenaille un grand nombre des Malgaches. Le pouvoir d’achat du petit peuple ne coïncide pas avec l’évolution des prix à la consommation. Le pire est qu’à part la faim, les citoyens malgaches ne peuvent même pas étancher leur soif convenablement, puisque l’eau tend à devenir une denrée rare dans le pays.
Prix du riz
En hausse au niveau des marchés
Les prix des produits de première nécessité sont en hausse auprès des marchés. Effectivement, le prix du kilo de riz local affiche 3 200 ariary, s’il était encore de 2 800 ariary, il y a de cela une semaine, soit une hausse de 14,28 %. Cette augmentation de prix n’annonce rien de bon pour le quotidien de la population surtout qu’elle n’est encore qu’à ses débuts. Les prix à la consommation augmentent, ce qui n’est pas le cas du pouvoir d’achat des Malgaches. Cette situation ne fera donc qu’accroître le désarroi des plus démunis.
Éducation
Un secteur négligé à Madagascar
L’éducation constitue le socle du développement durable. Pourtant, le secteur au lieu d’être mis en valeur, est totalement négligé dans le pays. La qualité de l’enseignement laisse à désirer. Les dirigeants en ont conscience, mais ils s’en foutent royalement. C’est pourquoi ils envoient leurs enfants faire des études à l’étranger. Sous le régime de Cédric Vazaha, on a eu droit à diverses infrastructures érigées un peu partout dans le pays. Le souci c’est que cela s’est arrêté au contenant alors que c’est le contenu qui compte le plus. À quoi bon disposer de multiples établissements scolaires s’il n’y a même pas d’enseignants compétents pour y enseigner. La confédération syndicale Sempama n’a pas manqué de faire part dernièrement de sa préoccupation par rapport à l’absence de publication de décret d’application concernant la Loi d’orientation du système éducatif malgache.
