quand la panique est mélangée à la peur tout devient confus au point où tellement ce gouvernement fantôme avec un président cacosopharque , il a beau être le président de la République mais c’est une personnalité qui raisonne comme un pied de chaise .
Maherilanto Manandafy, en détention d’emprisonnement pénal, a dû être hospitalisé le 17 Août suite à une Attaque Vasculaire Cérébrale . Un militant et lanceur d’alerte très suivi et apprécié par des milliers de suiveurs et soutenu par ses partisans aux combats qu’il mène . Le monde politique est aussi sensible aux actions que mène ce fils de l’illustre , feu : Manandafy Rakotonirina , meneur historique de mouvement populaire qui faisait vaciller les pouvoirs osant défier les luttes légitimes qu’il menait.
Le cas de Ninie Donia qui avait terminé par son décès pendant son emprisonnement était proche de l’émeute populaire que le pouvoir avait dû se plier face à une cérémonie funèbre populaire au cours de laquelle l’ensemble de la population participait à la marche funèbre pour déjà soutenir l’héros et martyr du jour et ensuite manifester leur colère . Ils étaient plusieurs milliers de personnes.
Andry Rajoelina , en pyropyge avec le cas de Maherilanto « Malama » , qui dans le contexte et situation actuelle, doit impérativement veiller à la santé de ses illustres locataires d’Antanimora dont Malama en fait partie intégrante.
Il est évident que nous souhaitons un prompt rétablissement à Malama , mais il est aussi évident que , quelles que soient les circonstances que s’il arrive malheur à Malama , Andry Rajoelina et consorts risqueraient fort de payer le prix au plus cher , car Antananarivo n’est pas Nosy – Be . Pour cela Andry Rajoelina autant que Mamy Ravatomanga en sont conscients , d’où leurs actions confuses, entre panique et peur.
Du coup , la famille proche de la victime vraisemblablement est priée de ne point divulguer au public autrement il n’y aura , ni traitement , ni soin , auquel il a entièrement droit Malama . Cela a un nom : chantage .
On comprend le silence de la famille, mais le milieux hospitalier , comme le milieux carcéral ne sont tenus à fermer leur clapet pour se taire et fermer leurs yeux devant les mésaventures que subit injustement leur compatriote . De là où un confrère depuis Paris alertait le public pour le cas de Malama . De suite le public et l’opinion semblaient vite réagir et entonnaient leur colère et leur frustration .
L’État devait faire une déclaration d’éclaircissement mais cet « État marchand » a dû marchander pour que ce soit l’épouse de Malama qui a dû sortir du « silence imposé » pour annoncer publiquement les faits qui jusque là incriminent nos gouvernants .
Le feu au cul , ils sont capables de marchander le silence de la famille proche de Malama ; qui nous dit que ces marchandages ne sont pas assortis de menaces connaissant leur mode opératoire surtout celui de peur bleue, pardon « pierre bleue ».