Chaque année, le 22 mai, le monde célèbre la journée internationale de la diversité biologique. A cette occasion, Madagascar n’a pas manqué de valoriser les espèces d’organismes qui sont en faveur de la nourriture, de l’eau, les médicaments, de l’économie et d’autres matériaux nécessaires pour les vêtements, les habitats, le carburant, l’énergie, etc.
A rappeler que la biodiversité offre en outre d’innombrables services, tant au niveau régional que local. Car plus de 80 % de l’alimentation est assurée par des plantes, selon les recherches publiées. Et près de 80 % des habitants des zones rurales des pays en développement ont recours aux médicaments traditionnels à base de plantes pour les soins de base. De plus, la perte de biodiversité menace l’Humanité. Il a été prouvé que la perte de biodiversité pouvait étendre les zoonoses – maladies infectieuses transmises par les animaux aux humains.
Face à cette situation, selon la Ministre de l’Environnement et du Développement durable, la biodiversité et la biodiversité de Madagascar sont soumises à de fortes pressions. L’exploitation injuste, le braconnage et le trafic d’espèces menacées et en voie de disparition telle que les tortues, les lémuriens, etc. sans oublier les incendies incontrôlés ou incontrôlés tels que les feux de forêt et les feux de brousse, les changements climatiques face à la croissance démographique, etc.
Sur ce, le ministère incite la restauration d’écosystèmes tels que les forêts et les mangroves et la promotion de la plantation forestière et de la lutte contre les incendies qui constituent un effort majeur à ce stade, ceci dans le but d’unir et de travailler ensemble pour construire une vie harmonieuse et un avenir harmonieux avec la nature et pour un développement durable.
