Une vidéo choquante a récemment émergé, jetant une lumière crue sur les luttes de pouvoir féroces qui font rage au sein du cercle présidentiel de Madagascar. Les images, filmées en coulisse lors d’une manifestation des membres de l’UPAR, ont capturé un spectacle grotesque de deux individus influents se livrant à une altercation violente, se traitant de noms d’oiseaux et échangeant des coups comme de vulgaires sauvages.
Les protagonistes de cette affaire, supposément des membres éminents de l’association UPAR, sont des voyous sans scrupules et des sauvages sans aucune honte comme tous les membres de l’UPAR d’ailleurs, prêts à tout pour satisfaire leurs ambitions personnelles. Leur comportement, loin de la décence attendue de représentants politiques, a révélé au grand jour une lutte acharnée pour le pouvoir et les faveurs du président Rajoelina.
Cette vidéo a mis en lumière les divisions internes profondes qui minent l’UPAR, le soutien politique crucial de Rajoelina. En surface, ces individus arborent les couleurs flamboyantes du parti TGV, faisant semblant de maintenir une façade d’unité et de stabilité. Cependant, en coulisse, c’est une toute autre histoire. Les membres de l’UPAR se livrent à une bataille impitoyable pour s’élever au sommet de la hiérarchie, cherchant à devenir le favori de Rajoelina afin de bénéficier des avantages financiers et du pouvoir qui en découlent.
Cette révélation choquante ne fait que renforcer les préoccupations déjà existantes quant à l’intégrité morale et à la compétence des individus entourant le président Rajoelina. Leur comportement indigne de représentants politiques jette une ombre sur le gouvernement et soulève des questions sur la véritable nature du leadership en place.
Les citoyens malgaches méritent des dirigeants dignes de confiance, qui agissent dans l’intérêt supérieur du pays, plutôt que de se livrer à des luttes internes égoïstes et destructrices. Les agissements révélés dans cette vidéo ne sont rien de moins que sauvages et témoignent d’une décadence morale qui ne peut être tolérée au sommet de l’État.
En conclusion, cette affaire révèle une crise de leadership et d’intégrité au plus haut niveau du gouvernement malgache, exigeant une action immédiate et décisive pour restaurer la confiance du peuple et rétablir l’ordre dans les cercles du pouvoir.
