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Le Journal de l'île Rouge
Politique

La Banque Mondiale : Une Marionnette de Radomelina dans la Comédie de la Distribution de l’Eau à Madagascar

La gazette de la grande île
17/10/20243 minute read
Non Seulement Ces Camions Ne Sont Pas Hygiéniques, Mais Ils Sont également Un Symbole De La Désinvolture Avec Laquelle La Banque Mondiale Aborde Les Problèmes Locaux.

À Madagascar, le problème de la distribution d’eau potable est devenu un véritable casse-tête, et au lieu d’apporter des solutions durables, la Banque Mondiale a décidé de s’aligner avec les idées farfelues de Radomelina. Cette alliance improbable ne fait qu’illustrer l’incompétence chronique du régime en place et le ridicule des mesures prises pour y remédier.

Quand la Bnaque mondiale se fait complice du ridicule

En réponse à la crise de l’eau qui frappe de nombreuses régions, la Banque Mondiale a choisi une solution digne d’une pièce de théâtre absurde : quatre camions citernes. Oui, vous avez bien entendu ! Quatre camions pour une île entière, alors que les besoins en eau sont aussi vastes que les plaines malgaches. Ces engins, qui devraient être la solution, se révèlent en fait être un élément de plus dans le tableau déjà chaotique de la circulation à Antananarivo, renforçant les embouteillages au lieu de les résoudre.

Une mesure non hygiénique et inefficace

Non seulement ces camions ne sont pas hygiéniques, mais ils sont également un symbole de la désinvolture avec laquelle la Banque Mondiale aborde les problèmes locaux. Comment peut-on penser que la distribution d’eau via des camions citernes dans un pays où l’accès à l’eau potable est déjà précaire puisse résoudre une crise ? Cette stratégie, plus proche d’une farce que d’une véritable politique de gestion de l’eau, montre à quel point la Banque Mondiale est déconnectée des réalités malgaches.

Radomelina, maître des marionnettes

Radomelina, avec ses idées saugrenues, a réussi à convaincre la Banque Mondiale de devenir sa marionnette. Leurs propositions, bien que risibles, trouvent écho auprès d’un organisme international qui devrait pourtant savoir mieux. Il est inquiétant de voir que la Banque Mondiale, au lieu de favoriser des initiatives locales durables, s’en remet à des solutions temporaires qui, à long terme, risquent de faire plus de mal que de bien.

Vers une réévaluation des priorités

Il est temps que la Banque Mondiale revoie ses priorités à Madagascar. Plutôt que de céder à des mesures aussi ridicules que celles de Radomelina, il est impératif d’investir dans des infrastructures durables, de promouvoir la gestion de l’eau à long terme et de renforcer les capacités locales. La crise de l’eau à Madagascar mérite une réponse à la hauteur des enjeux, et non des solutions qui ressemblent à une mauvaise blague. La Banque Mondiale doit reprendre les rênes et arrêter de se laisser manipuler dans cette comédie absurde.

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